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de l'autre coté
L’Amour, quel qu’ il soit ne disparaît jamais.
La mort n’est rien.
Je suis seulement passé dans la pièce d’à côté
Je suis moi, tu es toi.
Ce que nous étions l’un pour l’autre
Nous le sommes toujours
Donne-moi le nom que tu m’as toujours donné
Parles-moi comme tu l’as toujours fait
N’emploie pas un ton différent
Ne prends pas un ton solennel où triste
Continu de rire de ce qui nous faisait rire ensemble
Souris, pense à moi, chante pour moi.
Prononce mon nom
Comme il l’a toujours été,
Sans emphase d’aucune sorte
Sans une trace d’ombre
La vie signifie tout ce qu’elle a toujours signifié
Elle est ce qu’elle a toujours été
Le fil n’est pas coupé
Pourquoi serais-je hors de ta pensée
Simplement parce que je suis hors de ta vue ?
Je suis là, je ne suis pas loin,
Juste de l’autre côté du chemin .....
Tu vois tout est bien.. ...
henri scott
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Commentaires
Salut Evelyne un émouvant hommage ,qui incite à reflechir sur la vanité du monde
bonne soirée bise
Juste de l'autre côté. Et de l'autre côté , il y a nous...et rien ne nous empêche de communiquer avec ceux qui nous ont quittés . Ils seront toujours là , rien ne s'efface, rien ne s'oublie . Amitiés -Michelle
On entend souvent ce poème émouvant lors des inhumations. Il nous dit que les disparus sont toujours là et que la vie n'est jamais éteinte pour ceux qui s'aiment.
Oui les êtres chers qui sont passés de l'autre côté sont toujours présents dans nos coeurs et nos mémoires. Avec mon soutient et mon amitié
Bonjour Evelyne.
Je te remercie pour ton passage sur mon blog et pour le message que tu y as laissé.
J'ai aussi fait une très longue pose, pendant laquelle je suis passé de nombreuse fois sur ton blog. Quand j'y ais lut que tu avais perdu ton papa, je n'ai pas osé y laissé de commentaire.
J'aime beaucoup ton émouvant poème 'De l'autre coté" auquel je voudrais croire de toute mon âme.
Maintenant que ta douleur commence un petit peu à s'atténuer voilà ce que je peu en dire, pour être passé par cette situation douloureuse.
J'estime, que seulement les personnes très proches peuvent essayer d'atténuer cette douleur profonde. Tiré de mon expérience personnelle, je pense que malgré leurs bonnes volontés, les autres ne peuvent nous parler que de leur propre expérience, et tracer la route qu'ils ont suivis pour allez vers un mieux être. Peu être pouvons nous y trouvez aussi un réconfort.
Arrivé à un certain âge mon papa avait tendance à se dévaloriser. Je lui disais, nous tes enfants nous te suivons, tu nous ouvre la route et nous guide vers l'avenir. Quand il est partie il a laissé dans nos vies un grand vide, et nous avons aussi perdu notre guide.
Comme tu nous l'écrits, le début d'un remède au chagrin, ce sont les souvenirs des bon moments que nous avons partagés ensemble, et s'il y en a de moins bon, d'essayez de ne plus y penser. Dans une chanson de Jacques Brel le texte sa chanson, "On n'oublie rien" confirme ce que tu nous confis, et que je partage avec toi :
On n'oublie rien de rien.
On n'oublie rien du tout.
On n'oublie rien de rien.
On s'habitue c'est tout.Je te souhaite une bonne continuation.
Bises, linou.
Quell joli poème mon Evelyne..
Oui j'ai été longtemps absente du net, j'ai été hospitalisée pour des problèmes d'estomac, plus rien ne passait.. mais j'ai eu du mal à me remettre de l'anesthésie et de la douleur. Je récupère doucement maintenant
je t'envoie mille bisous
chatou
Nos chers disparus continuent de vivre dans notre souvenir bien à l'abri des vississitudes de la vie...Bonne soirée Evelyne !
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Ton joli poème me fait penser à ce que dit Pascale Darré :
http://letempsderire.eklablog.com/quelqu-un-a-qui-parler-a85968534