-
mille baisers..
On le pose ou l’on veut, sur la main où sur la joue
Se noie dans les chagrins, s’enchaîne dans les Au Revoir,
Il rayonne et s’illumine dans le bonjour des retrouvailles.
Un élan de tendresse, l’accroche du bout des doigts,
Ce baiser invisible tombé dans le creux d’une main,
Souffle drapé d’émoi, de celui, de celle qui l’envoi.
Le baiser du matin, les yeux collés, cherchant sa joue
Dans le creux d’une oreille deviens coquin et doux,
S’ébroue et s’encanaille en tombant dans le cou.
Rapide, le baiser du soir, bougon de son retard,
Tant de baisers fêlés, qui lui faut réparé,
Pour deux amoureux fous le baiser oreiller.
Baiser écrit en abrégé, baiser d’ado à demi avoué
Lui donne le nom du vent ‘bise‘, il se sent plus léger
Sur les bancs du collège, il n’est pas le dernier.
Le baiser bobo, p’tit bout ‘chou, doubler d’un souffle doux,
Ce pansement de quatre sous, celui que répare tout,
Aux rires de bébé que rien n’arrête, du baiser trompette.
Caché, discret, petit où grand, cadeau volé, où enivrant,
Baisers passeports et passe partout, pour un millier de Baisers.
-
Commentaires
et non ma justine si je n'ai pas signe c'est qu'il n'est pas de moi...mais je l'aime particulierement..c'est pour cela que je l'ai mis pour mon retour
bises
Ajouter un commentaire
C'est un beau baiser,
c'est un beau poème,
Qu'il soit écrit en abrégé,
Le mot BAISER, je l'aime !
Justine.
L'auteure, c'est toi ?