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    Rendez-vous incontournable pour les amoureux d’œnotourisme, la 33ème édition de la Fête des Vins de Gaillac s'est tenue du 5 au 7 août . Trois jours de fêtes pendant lesquels plus de 17 000 visiteurs se sont rassemblés dans le magnifique parc du château de Foucaud.

    L’occasion pour chacun de découvrir ou redécouvrir les 7 vins et les 7 cépages qui constituent la richesse et la diversité des caves du vignoble de Gaillac.


    La gastronomie tarnaise était à l’honneur avec la participation des Salaisons de Lacaune, de l’Ail Rose de Lautrec et du Roquefort conçu à partir de lait de brebis élevées dans le Tarn, sans oublier les autres produits traditionnels de la région.

     

    Comme chaque année, une soixantaine de vignerons ont  dévoilé leurs secrets aux curieux dans leur beau chalet en bois. Une dizaine de producteurs fermiers ont fait également partager leur passion et leur savoir-faire. Des séances d’initiation et de nombreuses dégustations ont permis aux amateurs et aux chevronnés d’apprécier des millésimes d’exception.

     En robe blanche, rouge et rosée, aux accords doux, sec, perlé et effervescent, les 500 cuvées du vignoble gaillacois ont séduit les yeux, les nez, les palais et les cœurs....

     

    Inauguration par les membres de la Dive bouteille :

     

     

    La confrérie de la Dive Bouteille de Gaillac est issue de la « Companha de la Poda » mentionnée dès 1529 dans un texte figurant au chapitre du carnaval dans le Registre Consulaire des archives de la ville de Gaillac, commencé en 1525.

     La « Poda » était la serpe servant à tailler la vigne .

    Après être, au fil des siècles, tombée dans l’oubli la  Companha de la Poda  renaît le 2 février 1947 sous l’appellation de  Confrérie Albigeoise de Rabelais  dont le but était de regrouper les esprits cultivés, amis de Rabelais, d’encourager les recherches sur son œuvre vineuse, humaine, morale et humoristique.

    L’esprit de Rabelais et le vin de Gaillac nous prouvent combien le

     " vrai vin a pouvoir d’emplir l’âme de toute vérité, tout savoir et philosophie ".

    Dans ce but, la Confrérie Albigeoise de Rabelais a créé l’Ordre de la Dive Bouteille de Gaillac qui tint son premier chapitre en 1952 à la mairie de Gaillac afin de soutenir les efforts des professionnels du vin.

    Forte de 3000 membres à travers le monde, la confrérie de la Dive Bouteille de Gaillac regroupe des passionnés qui, depuis des siècles, ont juré d’aimer et de défendre les vins de Gaillac.

    Sa mission est de porter partout la bonne parole, de faire connaître la richesse et la diversité de ses vins.
    Sa tenue est celle que Rabelais portait lorsqu’il étudiait la médecine à Montpellier.
    La confrérie est administrée par 25 dignitaires qui siègent au Conseil de l’Ordre.

     

    Quelques images de la fête :

     

     


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    bonjour à tous

      Un peu prise à la maison en ce moment pour cause de travaux ,

    je ne peux même pas profiter du beau soleil que l'on a sur la région .....

     

     

    Mais me voilà quand même pour vous faire connaitre un artiste Aveyronnais ,un artisan du fer ...faire un tour sur mes photos du jour ça vaut le détour.....photos que l'on m'a envoyées par mail et dont je vous fais profiter...hommage à l'artiste...

    Je suis sure que certains d'entre vous portent des tongs l'été ,moi je n'ai jamais su ,me font mal aux pieds...

    Mais connaissais vous leur histoire? c'est un peu plus bas ...

    Ben justement en parlant d'histoire en voici deux  de surprenantes dans l'article qui suit celui ci......

    bonne journée à vous...

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      Un stylo aussi peut être :

     

      Un couple arrive dans un hôtel. Le groom monte leurs bagages dans la chambre et demande au monsieur :
     - Avez-vous besoin de quelque chose ? 
     - Non merci .
     - Et pour votre femme ?
     - Ah vous faites bien de m'y faire penser !

     Montez-moi une carte postale et un timbre

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    brève de comptoir:

     

    Une belle mère c'est comme une étoile

    Il faut l'admirer ,mais de loin...

     


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  • Changement de menu :

    Fontenelle, neveu de Corneille et auteur d’”Entretiens sur la pluralité des mondes” était réputé pour son bel esprit et sa gourmandise. Il raffolait des asperges à l'huile. Un jour, il reçut l’abbé Terrasson, amateur d’asperges au beurre. La mort dans l’âme, Fontenelle fit donc préparer au beurre la moitié des asperges. Au moment de passer à table, l’abbé fut victime d’une attaque d’apoplexie. Alors, Fontenelle fonça à la cuisine et cria:

    “Toutes les asperges à l”huile! Toutes à l’huile!

     

     

     

    Riche et radin :

    le milliardaire Paul Getty avait fait installer une cabine téléphonique payante pour ses invités dans son château de Grande-Bretagne.

     

    Il aimait dîner chez Taillevent mais ne prenait qu’un plat. Lorsqu’il avait des invités, il recommandait à Claude Terrail (La Tour d’Argent) de ne pas présenter la carte des desserts.
    Il ne laissait pas de pourboire.

    Un jour, son bras droit, le colonel Robertson, lui dit :

    -Vous pourriez laisser quelque chose au maître d’hôtel ?

    Et Getty : -

    - Pourquoi ? Il ne m’a rien donné, lui.


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  •  Marcher sur le sable sans se brûler ou se faire mal aux pieds, voilà pourquoi les Egyptiens l'ont inventé il y a plus de 5000 années : la tong.

     Un drôle d'objet composé d'une semelle et d'une lanière en cuir.
    Elles sont tantôt un signe de pauvreté, de coquetterie ou de chasteté.

    Et puis les tongs qui adorent la marche à pied voyagent et arrivent au japon. Elles atterrissent aux pieds des paysans,pratiques pour marcher dans les rizières, elles sont d'abord des sandales très populaires.

     Au cours des années 20 la tong fait des ravages sur les plages. En particulier celle de Copacabana au Brésil. Entre la fête, le soleil et les jolies filles, la tong devient un des symboles du pays. La production de masse est lancée : la tong va devenir un objet culte dans le monde entier. Il a fallu l'immense complicité de quelques stars de ciné pour que tout le monde adopte la tong sans complexer.

    Quand Julia Roberts, Sandra Bullock, ou Kate Moss glissent leur pied dedans les tongs s'affolent complètement. Depuis dans les rues du monde entier, chaque été, on entend leur doux bruit clap, clap, clap, devenu si familier.

     Pour la petite histoire le mot tong a été trouvé par les Américains pendant la guerre du Vietnam. Il signifie tout simplement lanière.

    Personnellement ,je n'ai jamais su en porter...



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  • À l'entrée du village des Costes Gozon dans l’Aveyron, un décor de fer et d'acier vous accueille,dans lequel des formes insolites se jouent de l’actualité, des couleurs et du temps. Ici, on entre dans le monde merveilleux d’André Debru, ferronnier d’art.

     

    Il y a bien longtemps, la petite forge du village résonnait, transpirait, rougissait à l’instar de ce fer qui reprenait vie sur l’enclume.

      Là, appliqués et méticuleux, l’arrière grand-père, le grand-père puis le père d’Alain Debru exercèrent le métier de maréchal ferrand.
    C’est dans ce contexte qu’Alain, tout petit, tirait le soufflet de la forge et, surtout, confectionnait, à 11 ans, ses premiers héros de BD. Pourtant, il n’était nullement question de contrarier son père par   l’exercice d’une profession qui ne servait à rien...
    Son métier de forgeron se tournerait donc logiquement vers l’activité agricole. Mais ce qui passionnait Alain Debru c’était l’envie de créer des choses avec du fer.
    Malgré les contrariétés suscitées auprès des agriculteurs qui perdaient petit à petit leur forgeron, Alain Debru persistera, pour ne se consacrer, qu’à sa passion : travailler le fer.

    Celui qui a une histoire, qui a déjà servi…..

    le résultat est surprenant, les proportions et les volumes respectés, le travail particulièrement homogène. Tout cela pour un ensemble très solide, qui ne demande aucun entretien, sur lequel la rouille apporte une couleur, une teinte, sans en altérer le fer. Et des œuvres qui participent à nous faire rêver en posant un regard désormais différent sur ces morceaux de fer qui encombrent parfois notre quotidien alors qu’ils illuminent celui d’André Lebru...

     

     


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